La course à la chefferie du Parti québécois a fait couler beaucoup d'encre dans les différents médias gauchiste qui polluent l'espace public de notre triste province.
Il semble que cette bande de séparatistes, qui veulent non seulement détruire le Canada, mais, en regardant leur programme, détruire l'économie québécoise intéresse le bon peuple québécois.
Quelle tristesse d'assister à un spectacle aussi lugubre que cette course à la chefferie ! Quel regard de désespoir Dieu doit-il lancer en regardant ses brebis canadienne-françaises égarées !
Néanmoins, à la politique comme à la guerre, il faut connaître ses ennemis et c'est pour cela que je vais consacrer quelques lignes aux candidats de cette course.
Pierre-Karl Péladeau
Pierre-Karl Péladeau et Jean-Luc Mélanchon (chef de l'extrême-gauche françaie) sont issus du même moule politique dépassé et passéiste |
Pierre-Karl Péladeau détonne du péquiste moyen et a su soulever de la grogne dans son parti. Il est issu du milieu économique et n'est pas, par conséquent, l'un de ses personnages oisifs, typiquement associé à la gauche. Il n'est ni fonctionnaire, ni journaliste, ni syndicaliste, ni professeur d'université et il est ainsi très surprenant de le voir dans les rangs des séparatistes.
Pierre-Karl Péladeau est aussi un homme combatif, qui n'hésite pas à lever le ton, ce qui fait exception dans une société efféminée qui a oublié la signification de l'autorité et du respect.
Malgré ces qualités, Pierre-Karl Péladeau demeure un vrai séparatiste et possède toutes les tares associées à cette doctrine erronée. C'est un partisan acharnée de la séparation de la province Québec de sa mère patrie canadienne. Péladeau est aussi un communiste fasciné par Karl Marx, au point qu'il a changé son prénom de Pierre-Carl à Pierre-Karl, afin de montrer son attachement à ce philosophe immoral. C'est ainsi sans surprise que le Parti communiste du Québec appui sa candidature à la chefferie du Parti québécois.
L'immoralité de Pierre-Karl Péladeau ne se démarque pas de celle des autres séparatistes. Vivant dans le péché depuis des années, il a décidé de se marier, non pas pour retourner dans la voie de la sainte Église, mais dans un but de publicité médiatique.
Il est aussi le principal actionnaire de Québécor, chez de file des médias gauchistes au Québec. Son contrôle de l'information est tel, que même l'excellente Lise Ravary, une des rares croyante qui affirme sa foi dans le monde médiatique québécois, a dû supprimer une de ses chroniques, hostile au milliardaire gauchiste. Un Québec sous la domination de Pierre-Karl Péladeau ressemblerait aux dictatures communistes de l'ancien bloc de l'Est, non seulement au regard de l'aspect économique et social, mais aussi sur le plan médiatique.
L'appui de Bernard Drainville, esprit machiavélique derrière la charte de l'athéisme, ne laisse aucun doute sur les convictions profondes de Péladeau : lui aussi veut ériger l'athéisme en tant que religion d'État au Québec.
Martine Ouellet
Cette candidate recherche l'appui des extrémistes du Parti québécois: les fanatiques de gauche, ainsi que les fanatiques du séparatisme, qui sont souvent les mêmes.
Ouellet a reçu l'appui des syndicats, qui cherchent à placer un de leur pion au pouvoir, afin de continuer à détruire notre économie en payant grassement des incompétents oisifs.
Néanmoins, il semble que même les militants de ce parti gauchiste réalisent qu'un tel programme est voué à l'échec, étant donné le peu de visibilité accordé à Ouellet. Il faut par contre se garder d'être trop optimiste et de surestimer la capacité de réflexion des séparatistes.
Surtout, après le résultat désastreux du gouvernement Marois, il serait bien étonnant que les militants du Parti québécois choisissent à nouveau une femme comme chef.
Alexandre Cloutier
L'homme possède peu d'atouts, hormis son image et ferait certainement un meilleur porte-parole pour une compagnie de dentifrice qu'un politicien |
Avant la campagne il était un inconnu total, mais Alexandre Cloutier a su tirer son épingle du jeu dans le cirque médiatique québécois.
Il a su se présenter comme le candidat gauchiste par excellence, mais sans aller aussi loin que Ouellet en obtenant l'appui des syndicats. La multitude d'artistes vénérés par la plèbe québécoise a cependant permis à sa campagne de prendre son envol.
C'est connu, les électeurs écervelés raffolent des sondages. La vague orange aux élections fédérales et la victoire du NPD en Alberta nous le rappellent.
C'est ce qui s'est produit avec Cloutier : il est devenu la saveur du jour... en tant qu'anti-Péladeau. J'entends par cela le seul candidat présenté comme pouvant battre le sinistre milliardaire. C'est ainsi que Stéphane Dion avait gagné les élections, en étant l'anti-Ignatieff. Ou encore François Hollande, l'anti-Sarkozy après avoir été l'anti-DSK, puis l'anti-Aubry.
De tels candidats font très rarement de bons chefs et ne s'élèvent pas par l'amour qu'ils inspirent à leurs fidèles, mais par la haine que leurs fidèles éprouvent envers le candidat favori. Ces candidats de compromis, ne possédant que rarement des qualités personnelles font en sorte qu'ils déçoivent tout le monde.
Peu importe qu'il y a ait un ou deux tours et peu importe le candidat élu, le Parti québécois demeurera un parti incapable de faire quoi que ce soit pour la population de notre triste province.