vendredi 15 mai 2015

Bilan de la course à la chefferie du PQ

La course à la chefferie du Parti québécois a fait couler beaucoup d'encre dans les différents médias gauchiste qui polluent l'espace public de notre triste province.

Il semble que cette bande de séparatistes, qui veulent non seulement détruire le Canada, mais, en regardant leur programme, détruire l'économie québécoise intéresse le bon peuple québécois.

Quelle tristesse d'assister à un spectacle aussi lugubre que cette course à la chefferie ! Quel regard de désespoir Dieu doit-il lancer en regardant ses brebis canadienne-françaises égarées !

Néanmoins, à la politique comme à la guerre, il faut connaître ses ennemis et c'est pour cela que je vais consacrer quelques lignes aux candidats de cette course.

Pierre-Karl Péladeau


Pierre-Karl Péladeau et Jean-Luc Mélanchon (chef de l'extrême-gauche françaie) sont issus du même moule politique dépassé et passéiste
Pierre-Karl Péladeau détonne du péquiste moyen et a su soulever de la grogne dans son parti. Il est issu du milieu économique et n'est pas, par conséquent, l'un de ses personnages oisifs, typiquement associé à la gauche. Il n'est ni fonctionnaire, ni journaliste, ni syndicaliste, ni professeur d'université et il est ainsi très surprenant de le voir dans les rangs des séparatistes.

Pierre-Karl Péladeau est aussi un homme combatif, qui n'hésite pas à lever le ton, ce qui fait exception dans une société efféminée qui a oublié la signification de l'autorité et du respect.

Malgré ces qualités, Pierre-Karl Péladeau demeure un vrai séparatiste et possède toutes les tares associées à cette doctrine erronée. C'est un partisan acharnée de la séparation de la province Québec de sa mère patrie canadienne. Péladeau est aussi un communiste fasciné par Karl Marx, au point qu'il a changé son prénom de Pierre-Carl à Pierre-Karl, afin de montrer son attachement à ce philosophe immoral. C'est ainsi sans surprise que le Parti communiste du Québec appui sa candidature à la chefferie du Parti québécois.

L'immoralité de Pierre-Karl Péladeau ne se démarque pas de celle des autres séparatistes. Vivant dans le péché depuis des années, il a décidé de se marier, non pas pour retourner dans la voie de la sainte Église, mais dans un but de publicité médiatique.

Il est aussi le principal actionnaire de Québécor, chez de file des médias gauchistes au Québec. Son contrôle de l'information est tel, que même l'excellente Lise Ravary, une des rares croyante qui affirme sa foi dans le monde médiatique québécois, a dû supprimer une de ses chroniques, hostile au milliardaire gauchiste. Un Québec sous la domination de Pierre-Karl Péladeau ressemblerait aux dictatures communistes de l'ancien bloc de l'Est, non seulement au regard de l'aspect économique et social, mais aussi sur le plan médiatique.

L'appui de Bernard Drainville, esprit machiavélique derrière la charte de l'athéisme, ne laisse aucun doute sur les convictions profondes de Péladeau : lui aussi veut ériger l'athéisme en tant que religion d'État au Québec.

Martine Ouellet

Cette candidate recherche l'appui des extrémistes du Parti québécois: les fanatiques de gauche, ainsi que les fanatiques du séparatisme, qui sont souvent les mêmes.

Ouellet a reçu l'appui des syndicats, qui cherchent à placer un de leur pion au pouvoir, afin de continuer à détruire notre économie en payant grassement des incompétents oisifs.

Néanmoins, il semble que même les militants de ce parti gauchiste réalisent qu'un tel programme est voué à l'échec, étant donné le peu de visibilité accordé à Ouellet. Il faut par contre se garder d'être trop optimiste et de surestimer la capacité de réflexion des séparatistes.

Surtout, après le résultat désastreux du gouvernement Marois, il serait bien étonnant que les militants du Parti québécois choisissent à nouveau une femme comme chef.

Alexandre Cloutier

L'homme possède peu d'atouts, hormis son image et ferait certainement un meilleur porte-parole pour une compagnie de dentifrice qu'un politicien

Avant la campagne il était un inconnu total, mais Alexandre Cloutier a su tirer son épingle du jeu dans le cirque médiatique québécois.

Il a su se présenter comme le candidat gauchiste par excellence, mais sans aller aussi loin que Ouellet en obtenant l'appui des syndicats. La multitude d'artistes vénérés par la plèbe québécoise a cependant permis à sa campagne de prendre son envol.

C'est connu, les électeurs écervelés raffolent des sondages. La vague orange aux élections fédérales et la victoire du NPD en Alberta nous le rappellent.

C'est ce qui s'est produit avec Cloutier : il est devenu la saveur du jour... en tant qu'anti-Péladeau. J'entends par cela le seul candidat présenté comme pouvant battre le sinistre milliardaire. C'est ainsi que Stéphane Dion avait gagné les élections, en étant l'anti-Ignatieff. Ou encore François Hollande, l'anti-Sarkozy après avoir été l'anti-DSK, puis l'anti-Aubry.

De tels candidats font très rarement de bons chefs et ne s'élèvent pas par l'amour qu'ils inspirent à leurs fidèles, mais par la haine que leurs fidèles éprouvent envers le candidat favori. Ces candidats de compromis, ne possédant que rarement des qualités personnelles font en sorte qu'ils déçoivent tout le monde.

Peu importe qu'il y a ait un ou deux tours et peu importe le candidat élu, le Parti québécois demeurera un parti incapable de faire quoi que ce soit pour la population de notre triste province.

vendredi 8 mai 2015

Élections britanniques: vers une victoire de Stephen Harper en octobre prochain !

Cher amis,

Je ne peux plus rester muet devant l'afflux de catastrophes affligeant quotidiennement notre monde. La terreur islamiste menace l'existence même de nos sociétés, tandis que le gauchisme et l'athéisme minent notre société de l'intérieur et nous rendent vulnérables à une invasion progressive de l'Islam.

L'Occident donne l'impression de se décomposer devant nos yeux. 

Deux nouvelles cette semaine m'ont particulièrement ébranlées. La forteresse albertaine est tombée aux mains des gauchistes, ce qui fait craindre le pire pour notre pays en octobre prochain.

La suspension de Jean-Marie Le Pen du Front national, parti qu'il a créé et guider pendant trois décennies m'a rendu particulièrement amer. Est-ce que cela signifie l'abandon des valeurs qui ont fait autrefois la grandeur de la France ? L'affaire reste à suivre, mais nous verrons peut-être le retour triomphant de Jean-Marie Le Pen à la tête de son parti.

Il y a néanmoins de l'espoir: les étudiants gauchistes se sont vus désavoués et ont dû retourner faire la seule chose qu'ils devraient faire : étudier. 

La méthode Cameron pour le Canada 

Le Canada doit, une fois de plus, s'inspirer de la Grande-Bretagne pour assurer son avenir.
David Cameron a mené d'une main de maître la Grande-Bretagne: il a créé des emplois et renoué avec la croissance, après plus d'une décennie de mauvaise gestion par les travaillistes. Le nom de travailliste est trompeur, car les politiciens de ce parti s'illustrent surtout dans le domaine de la suppression d'emplois.
Les électeurs éclairés ont bien entendu apporté leurs voix au Parti conservateur, mais la propagande gauchiste menaçait la réélection du Parti conservateur et par cela même, l'avenir du pays.

David Cameron a placé une idée toute simple au cœur de son discours : l'unité et la pérennité de la Grande-Bretagne. Il a démontré qu'il était le seul homme capable de maintenir une Grande-Bretagne unie contre les fléaux qui l'accablent: 

1. Le séparatisme: L'Écosse menace de faire sécession et de détruire le pays. Cameron a prouvé aux électeurs que la seule réponse à cette menace est de rester inflexible et non pas de chercher à pactiser avec ces rebelles, comme voulaient le faire les gauchistes.

Le SNP s'est transformé en version écossaise du Bloc québécois. En l'ignorant suffisamment longtemps, le parti s'éteindra de lui-même, comme au Canada.

2. Le gauchisme: Mener l'Angleterre à la faillite semblait être le programme des travaillistes et des libéraux-démocrates. Ces partis faisaient aussi preuve de mollesse envers l'Islam et en favorisait même la montée, tant en Angleterre qu'à l'extérieur. Cameron a pu convaincre les électeurs que le Parti conservateur était le plus rigoureux sur le plan économique.

3. L'immigration et l'islamisme : Les travaillistes ont ouvert les portes de la Grande-Bretagne pendant des années, si bien que l'identité britannique est aujourd'hui menacée. Cameron propose une solution en deux temps : 1) Fermer les portes du pays, afin de réduire le nombre d'immigrants à la source, ainsi que de 2) baisser les allocations destinées aux oisifs, pour diminuer le nombre de non-Anglais dans le pays. À l'étranger, la poursuite de la guerre contre l'islamisme demeure la priorité de l'Angleterre.

J'applaudis aussi la montée en force du parti UKIP et espère fortement que plusieurs de ses idées seront reprises par le Parti conservateur anglais.

Dans tous les cas, Stephen Harper et ses troupes ont tout intérêt à reprendre le modèle du Parti conservateur de David Cameron, pour le bien de notre pays.  

Continuons le combat pour l'Occident !

Comme le grand Charles Martel l'a fait à Poitiers, nous pouvons freiner l'invasion musulmane !
L'Histoire montre que l'Islam a réussi à se propager lorsque l'Occident restait inactif. À chaque moment où nous avons agit, cette religion a dû reculer. C'est ce que montre l'action de Charles Martel à Poitiers, la Reconquista en Espagne, ou la Sainte-Ligue et le prince Eugène de Savoie en Europe de l'Est, ou aux action des missionnaires dans les colonies européennes.

Nous sommes dans une nouvelle ère de l'humanité et nous devons nous défendre contre une menace toujours croissante.

Néanmoins, je vous le répète chers amis, bien que cette guerre sera longue la victoire est possible, comme nous le montre David Cameron. Il nous faut souligner chaque petite victoire, avant notre triomphe final. 

Les amis de la Vérité saluent la victoire de David Cameron et du Parti conservateur !

mardi 4 février 2014

De Gabriel Nadeau-Dubois et de la propagande communiste dans nos écoles



Chers amis,

ma maladie m'a tenu trop longtemps éloigné de mon clavier. J'ai le plaisir de vous annoncer que je prends du mieux, ce qui est tout le contraire de la situation de notre triste province. Le déchaînement des événements récents me comble d'indignation, mais ma foi me pousse à garder confiance et à espérer que le Québec ouvrira enfin les yeux.

Je reprends donc le bâton du pèlerin avec une détermination nouvelle et la volonté de faire changer les choses, du moins autant qu'il est possible de l'espérer au moyen de ce modeste blogue.

Portrait de Gabriel Nadeau-Dubois

Représentation de Gabriel Nadeau-Dubois, en tant que figure de l'antéchrist (crédits: Fidele Benelli)
La nouvelle a fait sensation dans les médias sociaux : un professeur oblige ses étudiants à lire le manifeste de Gabriel Nadeau-Dubois, qu'on a osé surnommer l'archange Gabriel. Quant à moi, il s'apparente beaucoup plus à l'antéchrist. Pour ceux qui n'ont aucune culture religieuse et qui polluent cette page de commentaires truffés de fautes et qui montrent l'ignorance crasse de ceux qui les écrivent, l'antéchrist se veut le contre-Christ.

Le diable revêt différentes formes, mais il est présenté le plus souvent comme un être androgyne qui sait charmer les êtres faibles, en ce faisant passer pour le prophète. Mais l'antéchrist est un faux-prophète qui professe des idées fausses, qui amèneront l'humanité à la perdition.

La ressemblance avec Gabriel Nadeau-Dubois saute aux yeux et seul un aveugle pourrait le nier.

Je me souviens encore des prétendus journalistes qui mangeaient littéralement dans la main de ce personnage faisant la promotion d'idées infâmes.

Et maintenant des professeurs gauchistes et séparatistes endoctrinent les jeunes au moyen de ses écrits.


Il faut sortir le communisme de nos écoles !

Quelle époque sombre ! Nous avons sorti les bibles de nos écoles pour y faire entrer le marxisme, le séparatisme et Gabriel Nadeau-Dubois !

Le plus triste cependant est que l'endoctrinement de nos jeunes continuera encore et que toute cette histoire n'est que la pointe de l'iceberg.

Les écoles du Québec sont remplies de professeurs prodiguant un enseignement dépassé et dont les doctrines erronées que sont le communisme et le séparatisme sont considérées comme des vérités inattaquables, tandis que notre religion est injustement méprisée. Les jeunes sortent de nos écoles en ignorant tout du catholicisme, mais en sachant par contre parfaitement bien ce qu'est l'islam. Ceci est impensable ! Nous sommes un peuple catholique et nous devons le rester.


Pour une vraie éducation au Québec

L'endoctrinement des jeunes doit cesser. Qui se soucie des jeunes de nos jours ? Personne !

Un système d'éducation classique, comme celui qui a formé l'auteur de ces lignes, a donné naissance à une société sage, ordonnée et qui a gouverné avec justice. Les principes de la religion catholique étaient alors inculqués et nous avons vécu une période de prospérité sans précédent.

Le système d'éducation athée et gauchiste de la prétendue Révolution tranquille a quant à lui donné naissance à une société pourrie de l'intérieure, dans laquelle a fleuri l'incroyance et la décadence morale. L'émasculation des hommes et l'immoralité des femmes, voilà ce que les prétendus « pères du Québec moderne » nous ont laissé en héritage !

Et tout cela s'empire : qui aurait pensé au temps de la confédération qu'un jour les Canadiens-français enterraient la croix dans l'indifférence la plus totale et qu'ils se battraient afin que les islamistes aient le droit, ou non, de se balader librement.

Un éléphant est dans la pièce et je reviendrai sur cette charte de l'athéisme.

lundi 8 avril 2013

«Un flic, une balle» : mépriser les forces de l'ordre

Les vives discussions suscitées par ma première chronique m’invitent déjà à déroger au rythme mensuel de publication que je m'étais proposé d'observer. Je m’attarderai ici à deux événements récents, à la suite desquels on a vu, encore une fois, avec quel mépris certains savent traiter nos forces policières.

Que feriez-vous, si c'était votre portrait?

Jennifer Pawluck, 20 ans, est arrêtée par le Service de police de la Ville de Montréal après avoir diffusé sur les réseaux sociaux la photo d'une affiche de très mauvais goût, où l’on représente le chef des communications du corps de police, Ian Lafrenière, le front transpercé d’une balle de fusil. On accuse cette jeune anarchiste de menaces et d’incitation au meurtre envers Monsieur Lafrenière.

On conviendra que cette image, à elle seule, n’est peut-être pas suffisante, du moins au sens de la loi, pour condamner ainsi la jeune femme, d’autant plus qu’elle n’est pas l’auteure de l’affiche. C’est d’ailleurs ce qui explique toute la fortune, sur les blogues et réseaux sociaux, des complaintes effarouchées des médias gauchistes : mais de quel droit peut-on, nous disent-ils au bord des larmes, condamner un citoyen pour avoir capté et diffusé une simple photographie?

Mais l’histoire ne s’arrête pas là : il faut ajouter, pour se faire un juste portrait de la situation, que la jeune délinquante a déjà été arrêtée à trois reprises lors de violentes manifestations étudiantes. Il faut ajouter encore qu’elle a publié plusieurs autres images de même farine, dont celle-ci :

Et l'on ose dire que ce sont les policiers qui sont brutaux!

Plus on fouille ce dossier, plus on se rend compte que nous avons affaire à une récidiviste notoire, qui n’a aucun scrupule à souhaiter ouvertement et publiquement la mort – la mort, rien de moins! – de nos agents de la paix, des citoyens exemplaires, dévoués à la communauté, au respect des lois et des institutions. N’en déplaise aux apôtres de la liberté d’expression, ce n’est pas le genre de discours que l’on tient à la légère. Les jeunes contestataires nous battent sans cesse les oreilles avec leurs histoires de brutalité policière; mais parlez aux policiers, allez sur le terrain, et vous verrez bientôt que cette prétendue brutalité n’est qu’une juste réplique à la barbarie des manifestants, qui provoquent et menacent sans cesse les forces policières et désobéissent aux lois. Cette histoire a le mérite de nous montrer au grand jour le genre de discours haineux et dépravés qui habite la psyché de ces jeunes révolutionnaires. Comment les policiers peuvent-ils incarner la loi et le respect – bref, faire leur travail – s’ils demeurent les bras croisés devant tout cela? Jennifer Pawluck mérite ce qui lui arrive.

Sous des airs inoffensifs, un discours pernicieux, un symbole de violence.

Il en va de même d'un professeur de philosophie du Collège de Maisonneuve, qui s’est vu confisquer par les forces policières la tête d’un costume de panda, qu’il avait l’habitude de porter lors des manifestations. Les lois municipales indiquent pourtant, en toutes lettres, que le port du masque lors des manifestations est interdit. À bien y réfléchir, on s’étonne que les policiers aient attendu si longtemps avant de se saisir de cet objet illégal. Mes bienveillants critiques m’objecteront sans doute que ce costume de panda est inoffensif, qu’il est, pour reprendre leurs termes, le symbole d’une révolte pacifique, ludique et festive. Une révolte pacifique? Qui ne peut voir que cette idée même est contradictoire? Mais ne soyons pas dupes : derrière le costume enfantin, derrière une adroite rhétorique aux prétentions pacificatrices, derrière le masque du panda, se cache un discours pernicieux, qui invite à la délinquance, à la dissension, à la désobéissance, à la révolte, à la violence, à la haine. Cet «Anarchopanda» mérite ce qui lui arrive.

De toute évidence, le non-respect de toute forme d’autorité est devenu un symptôme récurrent de notre société malade, comme le montrent avec éloquence ces deux anecdotes. Cela est triste à dire, mais il n’est guère surprenant de voir ceux-là même qui m’accusent d’avoir été l’auteur de «propos haineux» se porter aussitôt à la défense de ces criminels...

vendredi 5 avril 2013

Louise Harel à la mairie : la fin de Montréal ?

Chers amis,

Je me porte mieux et je me fais un devoir de reprendre ma plume afin de défendre Fidele Benelli, nouveau journaliste-citoyen du petit groupe de catholiques militants que je préside fièrement.

Permettez-moi de résumer la situation dans laquelle je rédige ce billet: une vague de mécontentement s'est manifesté dans les commentaires du précédent article. Ces commentaires étaient majoritairement rédigés par des femmes gauchistes.

Pour vous prouver définitivement pourquoi vous avez tort, j'ai décidé de prendre l'exemple des dérapages d'une femme en politique. Je n'ai pas eu à aller bien loin, j'ai choisi Louise Harel, qui a annoncé récemment qu'elle se porterait candidate à la mairie de Montréal.

Louise Harel: séparatisme et étatisme à la ville de Montréal

Avec sa mollesse toute féminine, la campagne de Louise Harel n'ira pas bien loin...

Afin de rendre le milieu de la construction plus compétitif, Louise Harel a eu le réflexe de tout bon gauchiste, c'est-à-dire d'augmenter la taille de l'État, afin de rendre les citoyens plus dépendants envers celui-ci. Elle propose ainsi que l'administration municipale montréalaise possède sa propre usine de fabrication d'asphalte !

Pourtant, il est évident que ce n'est qu'en laissant agir le marché librement que la compétition peut être saine et les prix être les plus avantageux pour les citoyens. Nous avons besoin de moins d'interventions étatiques. Bon sang ce n'est pourtant pas bien complexe à comprendre !

Ce réflexe maternel du nanny-state, de l'État omniprésent dans tous les aspects de la sphère publique et privée est celui de la gauche toute entière. Il faut repenser la politique et y expurger ces idées qui ne sont pas faites pour la sphère publique de notre société.

Dans tous les cas, la prise de pouvoir par Louise Harel serait une catastrophe pour notre métropole et la conduirait vers les bas-fonds.

Bien sûr, il y a des exceptions, même si en définitive c'est l'homme qui doit détenir la balance du pouvoir. Ce ne sont pas toutes les femmes qui sont uniquement gouvernées par la passion et inaptes à occuper une place dans la sphère publique. (Je rappelle que j'ai soutenu sans aucune nuance la candidature de Marine Le Pen à la présidence de la France et celle de Sarah Palin aux États-Unis.)

D'un autre côté, certains hommes sont remplis de mollesse toute féminine et sont incapables d'occuper des fonctions politiques. (Qu'on pense à Gérald Tremblay ou à André Boisclair par exemple.)

Plusieurs personnes qui ont commenté le dernier article de notre blogue n'ont visiblement pas saisi ces nuances. J'ose croire qu'ils ont les capacités intellectuelles de comprendre cela.

Vers une nouvelle société plus efficace

En définitive, c'est l'homme qui doit détenir la balance du pouvoir

Notre société entière doit séparer ce qui est du domaine masculin de ce qui appartient au domaine féminin. 

C'est pour cela que la quasi-totalité des femmes doivent être écartées de la sphère publique: elles risquent d'entraîner la société en entier dans le ravin, comme Eve l'a fait avec l'humanité. Nous payons encore les conséquence de ce péché originel.

En séparant la sphère publique masculine de la sphère privée féminine, nous ne nous en porterons que mieux : les hommes exerceront les fonctions que la nature leur a attribué dans la sphère publique, tandis que les femmes seront libérées.

Je tiens à rappeler aux féministes que la femme est esclave dans la société actuelle (de la mode, de la sexualité). Nous voulons la libérer en la mettant dans la place que la nature lui a assigné: la sphère privée. C'est là seul où elle peut s'épanouir pleinement.