Chers amis,
Je me porte mieux et je me fais un devoir de reprendre ma plume afin de défendre Fidele Benelli, nouveau journaliste-citoyen du petit groupe de catholiques militants que je préside fièrement.
Permettez-moi de résumer la situation dans laquelle je rédige ce billet: une vague de mécontentement s'est manifesté dans les commentaires du précédent article. Ces commentaires étaient majoritairement rédigés par des femmes gauchistes.
Pour vous prouver définitivement pourquoi vous avez tort, j'ai décidé de prendre l'exemple des dérapages d'une femme en politique. Je n'ai pas eu à aller bien loin, j'ai choisi Louise Harel, qui a annoncé récemment qu'elle se porterait candidate à la mairie de Montréal.
Louise Harel: séparatisme et étatisme à la ville de Montréal
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Avec sa mollesse toute féminine, la campagne de Louise Harel n'ira pas bien loin... |
Afin de rendre le milieu de la construction plus compétitif, Louise Harel a eu le réflexe de tout bon gauchiste, c'est-à-dire d'augmenter la taille de l'État, afin de rendre les citoyens plus dépendants envers celui-ci. Elle propose ainsi que l'administration municipale montréalaise possède sa propre usine de fabrication d'asphalte !
Pourtant, il est évident que ce n'est qu'en laissant agir le marché librement que la compétition peut être saine et les prix être les plus avantageux pour les citoyens. Nous avons besoin de moins d'interventions étatiques. Bon sang ce n'est pourtant pas bien complexe à comprendre !
Ce réflexe maternel du nanny-state, de l'État omniprésent dans tous les aspects de la sphère publique et privée est celui de la gauche toute entière. Il faut repenser la politique et y expurger ces idées qui ne sont pas faites pour la sphère publique de notre société.
Dans tous les cas, la prise de pouvoir par Louise Harel serait une catastrophe pour notre métropole et la conduirait vers les bas-fonds.
Bien sûr, il y a des exceptions, même si en définitive c'est l'homme qui doit détenir la balance du pouvoir. Ce ne sont pas toutes les
femmes qui sont uniquement gouvernées par la passion et inaptes à
occuper une place dans la sphère publique. (Je rappelle que j'ai soutenu
sans aucune nuance la candidature de Marine Le Pen à la présidence de la France et celle de Sarah Palin aux États-Unis.)
D'un autre côté, certains
hommes sont remplis de mollesse toute féminine et sont incapables
d'occuper des fonctions politiques. (Qu'on pense à Gérald Tremblay ou à
André Boisclair par exemple.)
Plusieurs personnes qui ont commenté le dernier article de notre blogue n'ont visiblement pas saisi ces nuances. J'ose croire qu'ils ont les capacités intellectuelles de comprendre cela.
Vers une nouvelle société plus efficace
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En définitive, c'est l'homme qui doit détenir la balance du pouvoir |
Notre société entière
doit séparer ce qui est du domaine masculin de ce qui appartient au
domaine féminin.
C'est pour cela que la quasi-totalité des femmes doivent être écartées
de la sphère publique: elles risquent d'entraîner la société en entier
dans le ravin, comme Eve l'a fait avec l'humanité. Nous payons encore
les conséquence de ce péché originel.
En séparant la sphère publique masculine de la sphère privée féminine, nous ne nous en porterons que mieux : les hommes exerceront les fonctions que la nature leur a attribué dans la sphère publique, tandis que les femmes seront libérées.
Je tiens à rappeler aux féministes que la femme est esclave dans la société actuelle (de la mode, de la sexualité). Nous voulons la libérer en la mettant dans la place que la nature lui a assigné: la sphère privée. C'est là seul où elle peut s'épanouir pleinement.