mardi 12 avril 2011

La campagne bureaucratique contre l'intimidation dans les écoles est vouée à l'échec !

L'intimidation dans les écoles découle de la laïcisation et la bureaucratisation de l'enseignement
Encore une fois, une campagne lancée par la bureaucratie québécoise est fondamentalement biaisée dès son départ. En effet, comment la bureaucratie peut-elle concevoir une campagne destinée à régler un problème qui est fondamentalement causé par la bureaucratie ? Mais les fonctionnaires ne réfléchissent pas ainsi: ils ne cherchent qu'à justifier leurs emplois grassement payés à même notre argent !

Ces gens croient qu'il faudrait convaincre les multiples structures inutiles que sont les tables de concertation et surtout les Commissions scolaires de mettre fin à l'intimidation dans les écoles... sans bien sûr utiliser la discipline, qui est aussi dépassée que le respect et l'autorité, valeurs passéistes qu'il faut à tout prix reléguer aux oubliettes !

Le problème fondamental est ainsi totalement mis de côté.

Comment pouvons nous espérer que les jeunes se respectent entre eux quand leurs parents n'ont jamais montré du respect envers quoi que ce soit, ni même envers leur propre religion ? Comment l'école peut-elle enseigner la discipline à ces enfants-rois, alors que les professeurs ne peuvent plus corriger le moindrement les enfants ?

Pour toutes ces raisons, la campagne bureaucratique contre l'intimidation dans les écoles est vouée à l'échec.

Une solution bien simple à ce problème !

À mon époque, la discipline et l'autorité régnaient à la maison et à l'école, ces bonnes valeurs étant mises de l'avant par l'exemple, mais aussi par diverses corrections. Les pères dans les maisons et les frères au séminaire n'hésitaient pas à nous corriger, pour mieux nous montrer le droit chemin.

Serait-ce si compliqué d'en faire autant de nos jours ?

Lorsqu'il y avait des différents entre des garçons, nous réglions nos problèmes après l'école, dans la cour ! Aujourd'hui, avec la féminisation de l'enseignement, les garçons se voient imposer des solutions de femmes, soit : parler et parler. C'est totalement inadéquat. Il est bien connu que les hommes aiment mieux les actes que les paroles.

Par le fait même, il est temps d'agir, plutôt que de parler, afin de donner au Québec un meilleur système d'éducation !

10 commentaires:

  1. On devrait les obliger à écouter du Normand L'Amour à la journée longue s'il n'obéissent pas. En plus de leur enseigner les valeurs religieuses que promouvoit Normand L'Amour, c'est tellement de la torture qu'ils ne recommanceraient plus!

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  2. Oh oui, mets-en dans mon temps aussi c'était comme ça dans des affaires de fifi comme parler, dialoguer et essayer de se comprendre.

    Nous autres on se battait jusqu'au sang pendant que le prêtre nous regardait et riait. C'était toujours moi qui gagnait j'en petté des gueules à des non-croyants.

    Aussi lorsqu'on manquait vraiment de discipline, le prêtre nous rentrait un crucifix dans l'anus. Laissez-moi vous dire que ça calmait ceux qui osait pas apprendre leur catéchiste par coeur. Par contre, on ne savait jamais si c'était un crucifix qu'il nous enfonçait dans le cul ou alors c'était son pénis, mais bon ça marchait tout le temps.

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  3. Manifestement, nos deux commentateurs sont sarcastiques! ;)

    Donc, il faut contrer l'intimidation des enfants conformistes contre les enfants anti-corformistes...par de l'intimidation des adultes conformistes contre ces mêmes enfants anti-conformistes!

    Tout un programme!

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  4. Haa AH! Voilà l'occasion que j'attendais ! Je vous y prend au mots Mr Chouinard!
    Il me semble bien que j'ai un différent avec vous donc, comme vous le proposez, j'aimerais bien ça qu'on règle ça 'dans la cours'. Je vous provoque en duel! Où vous voulez, quand vous voulez.
    vous êtes mieux de pas vous défiler.

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  5. En gros, promouvoir la femme comme inférieure, la violence comme meilleure solution aux incompréhensions (je suis plus fort donc j'ai raison) et l'endoctrinement aux valeurs contradictoires de l'Église, qui au fond ne cherche qu'à contrôler les foules et à s'enrichir sur le dos des gens.
    Jésus ne prônait-il pas l'amour, la compassion, le respect, le pardon? En bon chrétien, vous devez sûrement respecter ses paroles. Alors dites-moi, pourquoi préconisez-vous la violence comme solution? N'y voyez-vous pas une aberration, un irrespect de VOTRE religion?
    Je respecte ma religion, ou plutôt, mon absence de religion : ne pas croire en Dieu ne signifie pas que je n'ai pas de morale. J'ose même dire qu'une bonne partie de mes opinions concernant le bien et le mal viennent du passé catholique du Québec.

    J'espère que lorsque vous suggérez d'agir au lieu de parler vous n'espérez pas secrètement une version agrandie de la bagarre à la sortie des classes : une putch militaire.

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  6. @Gregory : Intéressant commentaire

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  7. Que diriez-vous de lire davantage de livres sur tous les sujets abordés dans vos articles? Vous cesseriez dès lors d'écrire pour compenser toutes les horreurs que vous avez déjà clamées avec tant de fougue. Il n'y a pas de gauchistes ou de droitistes : il y a des gens qui lisent et ceux qui écoutent les personnes qui prétendent avoir lu.

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  8. Bonjour,

    Vous dites qu'à votre époque (laquelle ?) "la discipline et l'autorité régnaient à la maison et à l'école, ces bonnes valeurs étant mises de l'avant par l'exemple, mais aussi par diverses corrections. Les pères dans les maisons et les frères au séminaire n'hésitaient pas à nous corriger, pour mieux nous montrer le droit chemin." Vous n'avez pas totalement tord. Par contre, cet argument manque de force car la violence, l'intimidation et le harcèlement existait aussi chez les jeunes de votre époque. D'ailleurs, le taux d'homicide (statistique la plus fiable) est plus bas aujourd'hui qu'il y a 20, 30 ou 50 ans.

    Finalement, votre propos de la fin est ridicule et rétrograde. La civilisation et le droit repose sur la parole, l'échange et la discussion et non sur la violence.

    Ouvrez-vous monsieur...et surtout réfléchissez un peu en dehors de vos dogmes.

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  9. @ vincent: Non, vous, ouvrez vous, ouvrez votre âme ! La parole est inutile, ça peut durer des mois, voire même des années pour n'arriver à aucune conclusion. La violence est le seul moyen de progresser !

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  10. Pauvre M. Chouinard...

    J'aurais bien aimé un peu plus de suite dans vos idées. Vous qui défendez toujours les libertés individuelles vous prônez l'utilisation de la violence envers les enfants pour nous faire retourner 60 ans en arrière. Ce n'est pas pour rien qu'on appelle cette période la Grande Noirceur, non?

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