Une femme ordonnée prêtre: une belle fausse nouvelle pour les médias gauchistes !

La religion catholique est constamment bafouée au Québec !

Vous avez sans aucun doute entendu parler de la prétendue ordination d'une femme prêtre par les médias gauchistes qui gouvernent cette province. Il s'agit d'une non-nouvelle. En effet, la sainte Église de Rome ne reconnaît pas l'ordination des femmes, et cette ordination s'est faite par conséquent en dehors de l'Église. Ce faisant, parler de cette nouvelle équivaut à parler d'un sans-abris qui s'auto-proclamerait premier ministre du Québec ou encore d'un nageur amateur qui se donnerait lui-même une médaille «olympique» de sa propre fabrication. Jamais les médias ne parleraient de telles nouvelles, sauf peut-être TVA et feu TQS.

La couverture médiatique de cette nouvelle démontre, une fois de plus le terrible manque de sérieux de nos médias, qui préfèrent parler de ce genre de non-nouvelle, plutôt que de s'attaquer aux vrais problèmes du Québec. Par exemple, plutôt que de parler de gens qui bafouent les enseignements de l'Église, pourquoi ne pas parler du nombre effroyablement trop élevé d'avortements ou des églises qui se vide et qui sont données aux musulmans ? Ces réalités sont trop graves pour être couvertes par nos médias gauchistes, qui aiment mieux se réfugiés dans la facilité et la débilitude !

La religion catholique est constamment bafouée par les médias gauchistes du Québec. Cette fois-ci ne fait pas exception. Cette nouvelle montre la volonté des féministes et des gauchistes de détruire notre société, en brouillant les frontières entre la position légitime que chaque sexe doit y occupé. Il est épouvantable mais peu surprenant qu'après avoir attaqué plusieurs facettes de la société, les féministes cherchent maintenant à déstabiliser l'Église.

Dernier rempart contre l'anarchie sociale, si l'Église cède, c'est la fin de l'ordre moral qui régie encore notre société. Le fait qu'on puisse s'attaquer à cette sainte institution démontre l'état de décrépitude morale au sein du monde dans lequel nous vivons. Nous vivons dans un triste monde chers lecteurs...

Je ne suis pas misogyne car je considère que la femme a un rôle important a jouer au sein de l'Église. Ce n'est pas par l'exercice de la prêtrise, réservé aux hommes depuis toujours. La femme doit élever les enfants dans l'enseignement catholique. Elle exerce ainsi un rôle capital ! Les féministes ne cherchent qu'à enlever les femmes de l'exercice de ce rôle si important !