Critique du Banquier à TVA avec Julie Snyder (automne 2010)

Pause publicitaire... et maintenant Priscilla ouvre la valise 43... Pause publicitaire !

J'ai écouté le Banquier à TVA dimanche dernier plutôt que d'assister aux frasques des séparatistes de Tout le monde en parle à Radio-Canada. Je trouve dommage que Julie Snyder soit rendue si bas et anime la version française du jeu télévisé Deal or no deal. Mais bon, disons que sa relation avec le propriétaire de la station, Pierre-Karl Péladeau, n'est pas étrangère à ce poste...

On me dit que pour participer au Banquier, les candidats doivent s'inscrire à des auditions. La gamme de candidats présents révèle en effet un choix de la part de la direction, mais il est dommage qu'ils soient tous plus insignifiants les uns que les autres. Il en va de même pour les porteuses de valise qu'on nomme les «beautés».

J'ai ressenti un ennui profond lors du visionnement de cette émission. J'ai été très étonné que le contenu du Banquier soit encore plus médiocre que celui de la Poule aux œufs d'or, qui détenait auparavant la palme du jeu télévisé québécois le plus médiocre. La perte de temps systématique qui précède chacune des moindres actions de cette émission rend le déroulement atrocement long ! Va-t-on ouvrir la valise ? Qu'est-ce que le banquier va répondre ? Pause publicitaire !

Il est malheureux de voir ce type d'émissions destinées aux personnes âgées au bord de la sénilité aux heures de grande écoute à TVA. Ceci ne contribue qu'un peu plus à endormir la population !

Au fait, je ne participerai pas aux inscriptions pour la saison hiver 2011 du Banquier !