Les vraies causes des problèmes du système de la santé

Merci aux syndicats et aux bureaucrates !

On parle très souvent dans les médias gauchistes des problèmes des urgences qui débordent. Cependant, on ne propose jamais de solutions, parce que celles-ci iraient nécessairement contre la volonté des gauchistes, qui contrôlent la grande majorité des médias québécois.

Pourtant, il est évident pour n'importe qui un tant soit peu réaliste que la seule solution est de privatiser le système de santé. On voit partout que l'État québécois est incapable de gérer quoi que ce soit, et surtout pas la santé !

La privatisation, seule solution

Mais, grâce aux campagnes de salissage faites par les médias gauchistes, la populace a peur du privé. Aucun parti n'arrive, fort malheureusement, à mettre dans son programme politique une privatisation partielle ou totale du système de santé québécois. Il se fait aussitôt lyncher sur la place publique par les gardiens de l'inefficacité et de la bureaucratie.

Le ministre Yves Bolduc: l'incompétence au service de la privatisation de la santé !

C'est dans ce contexte que s'exprime le génie de Jean Charest. Ne pouvant atteindre directement le but qu'il chérit, il le fait par des manœuvres très habiles et subtiles et affaiblit petit à petit le système. Ainsi, il permet l'entrée du privée dans plusieurs domaines.

Mais c'est surtout en plaçant Yves Bolduc à la tête du ministère de la santé que notre premier ministre peut affaiblir le système de la santé. Un être aussi incompétent que l'actuel ministre de la santé ne peut qu'aggraver la situation, déjà précaire, du système de santé québécois.

C'est au moment où la situation du système de santé sera catastrophique que l'offensive pour le privé pourra être mis au grand jour. Les forces de l'immobilisme seront alors incapables de défendre le statu quo, et nous pourrons alors aller de l'avant, pour le bien du Québec d'aujourd'hui et de demain.

L'abolition des syndicats et des autres structures bureaucratiques

De l'autre côté, ce que je propose comme solution est l'abolition des syndicats et des autres structures bureaucratiques. Ces parasites ne servent qu'à rendre le système inefficace et coûteux. Combien de médecins, infirmières et ambulanciers ne sont pas sur le terrain mais ne font que du travail d'administration dans les syndicats et au ministère de la santé ? 

Ces gens doivent travailler à nouveau sur le terrain. Une gestion privée du système de la santé, nécessairement plus efficace, n'aura pas besoin de ces structures. Elles pourront ainsi être abolies, permettant d'offrir plus de services à la population.

La réaction de la gauche

Que répondrait les gauchistes à ses affirmations ? Hé bien ils nous diraient sans doute que le système actuel doit être maintenu, car sinon il serait moins accessible. Peut-on parler d'un système universel, gratuit et accessible au moment où des gens meurent, faute de soin ? Et où les gens se tournent de plus en plus vers le privé pour obtenir les soins ? Il est temps de mettre fin à cette hypocrisie qu'est le système de santé québécois et de le privatiser au plus vite !