mercredi 9 février 2011

La campagne « Pucabap » des Libéraux fédéraux, ou comment quémander le vote des analphabètes

Les libéraux visent les illettrés avec cette campagne de diffamation !
Avec la campagne « Pucabap », les libéraux reprennent la propagande simpliste et abrutissante que les Bloquistes ont élaboré contre le gouvernement de Stephen Harper. Ils lancent une véritable campagne de diffamation, s'attaquant à Stephen Harper avec un slogan à l'orthographe approximatif: « Pucapab ». Après que le système scolaire public créé par les gauchistes ait produit des illettrés, il est tout naturel pour ces politiciens d'essayer d'attirer le vote des analphabètes par ce genre de campagne... Mentionnons aussi qu'il s'agit d'une campagne propagée dans les médias sociaux, endroits où la jeunesse canadienne gaspille son temps...

Une chanson accompagne aussi cette campagne, dont la musique médiocre est semblable aux pires airs qu'on entend dans les radios commerciales, les vraies radio-poubelles. Le texte est d'une démagogie inconcevable dans un régime démocratique, étant rempli de mensonges et d'attaques de bas-niveau. On voit que les libéraux essaient de s'attirer à leur faveur le cynisme propagé par les médias gauchistes.

Les deux responsables de cette campagne.
Je suis profondément déçu que Denis Coderre et Justin Trudeau se soient associés à cette campagne. J'ai de l'estime pour Denis Coderre, je l'ai déjà mentionné. Je crois cependant qu'il serait plus à sa place en tant que maire de Montréal. C'est un homme d'action, plus que de réflexion, et il est condamné à être dans l'opposition pour encore longtemps, à moins qu'il ne rejoigne le Parti conservateur.

De son coté, Justin Trudeau n'est que le pâle reflet de son père, en plus d'avoir l'air d'un gauchiste avec sa barbe mal rasée. J'ai beaucoup de respect pour son père, Pierre Elliot Trudeau, qui a sauvé le Canada à plusieurs reprises des projets destructeurs des séparatistes. Notons aussi qu'il avait ses défauts, plusieurs de ses politiques gauchistes ayant nuit à la moralité du pays. Justin Trudeau déshonore le nom de son père en s'associant à des campagnes politiques de ce genre.

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